La figure de la femme éloignée, inaccessible ou cruellement absente, l’éternel féminin bouleverse Werther, trouble et torture le jeune Beethoven elle sera la muse de Schumann qui lui dédit le quintette op.44.
Les plus belles pages de la musique allemande amoureuse, autour de l’unique cycle de lieder de Beethoven « An die ferne Geliebte ».
• Au programme :
Tristan Labouret, Présentation
Ludwig van Beethoven, Adélaïde, op. 46
Ludwig van Beethoven, An die ferne Geliebte op. 98
Robert Schumann, Dichterliebe op.48
Marc Labonnette, Baryton | Denis Pascal, Piano
Robert Schumann, Quintette avec piano op.44
Liya Petrova, Anne Gravoin, Violons | Julian Boutin, Alto | Aurélien Pascal, Violoncelle | Nathanaël Gouin, Piano