La figure de la femme éloignée, inaccessible ou cruellement absente, éternel féminin bouleverse le jeune Werther, trouble et torture le jeune Beethoven, sera la muse de Schumann. L’image de la nature apaisante se substitue à celle perdue à jamais de la mère protectrice chez Brahms.
Les plus belles pages de la musique allemande amoureuse, autour de l’unique cycle de lieder de Beethoven « An die ferne Geliebte ».
Ludwig van Beethoven, An die ferne Geliebte op. 98
Robert Schumann, Dichterliebe. Op.48
Marc Labonette, Baryton
Denis Pascal, Piano
Johannes Brahms, Trio op. 40 pour cor, violon et piano
Eric Lacrouts, Violon
David Guerrier, Cor
Adam Laloum, Piano
Robert Schumann, Quatuor avec piano op.47
Alexandre Pascal, Violon
Julian Boutin, Alto
Marie-Paule Milone, Violoncelle
Adam Laloum, Piano